Présentation

Bonjour,

Cela fait longtemps que Jung m'accompagne; je l'ai connu avec La Fontaine de Pierre d'Etienne Perrot, qui m'a ramassé dans un triste état il y a 25 ans - la Vie nous présente parfois son visage noir. La rencontre avec le livre "les Rêves et la Vie" d'Etienne Perrot, signalé un an avant par quelqu'un (dont je saurai plus tard qu'il était de la Fontaine de de Pierre), s'est produite par un hasard assez mémorable chez un bouquiniste, en conclusion d'une séquence d'évènements assez surprenante qui a duré un an - et a correspondu, pour la date, à un signal qui avait surgi en moi 10 ans avant et qui m'avait évité de sombrer, et dont la teneur était "rendez-vous à tel âge" : bon - ça a l'air magique ? euh ... la suite n'a pas été si romantique - progrès mêlés de difficultés et d'impasses, d'attentes et de lenteurs ... non, tout sauf romantique ! et aussi de quelques moments forts et spectaculaires.

Enfin, beaucoup d'eau est passée sous les ponts - et SUR le pont oserai-je dire, qui a bien lavé tout ça. Mon analyste junguien actuel est en Suisse.

Le chemin parcouru est assez incroyable. Intégré dans le monde aujourd'hui, j'ai bien conscience de nos limites individuelles, de nos failles et faiblesses. J'ai conscience de combien la société se porterait mieux si les gens (chacune et chacun ?) travaillait sur soi - sérieusement. Pour gagner ma vie, je suis dans informaticien dans une société d'ingégnérie (oui, je sais, ça ne colle pas avec une vie intérieure pareille, qu'est-ce que vous voulez ? c'est mon histoire !) et je souffre quotidiennement :

- de voir mes collègues s'empêtrer dans leurs erreurs de vie, sans que je puisse rien y faire (pas à la source en tout cas - et un geste de réconfort, une marque de sympathie peuvent soulager, mais ils auraient besoin de bien plus)
- de ne pas pouvoir partager avec eux mon intimité avec mon inconscient, l'écoute des rêves, les synchronicités, tout ce mode de vie qui me semble tellement essentiel pour vivre sainement, ne pas commettre envers soi-même - et les autres - des erreurs de principe - quand ce n'est pas des erreurs plus subtiles.

J'ai ce besoin de partager sur Jung - et c'est un sujet rare, si rare ! Je vous ai trouvés - peut-être pourrons-nous avoir quelques échanges enrichissants pour les uns et les autres.

Cordialement
Bobrg

Bonsoir Bobrg et bienvenu dans cet espace de partage,

Encore une présentation remplie de vécu et d'expériences, merci pour cette confiance.

J'espère que ce forum t'apportera l'écoute et le répondant que tu cherches.

J'ai aussi été happé par ce que tu décris comme tes souffrances quotidiennes, et elles se sont un peu apaisées avec la venue du lâcher-prise (pas de l'indifférence !) et la conviction que certaines qualités d'être rayonnent sans que l'on s'en aperçoive...j'essaye patiemment de les identifier.

Bonsoir Jean,

Oui, pour ce qui est du rayonnement qu'on peut apporter, je suis d'accord. Même si, en ce qui me concerne, dans cette petite entreprise pleine de problèmes, je me demande bien ce que je rayonne ;-) Quand je disais que je "souffre" : j'ai tapé un peu vite : ce n'est pas un calvaire ! J'ai beaucoup de compassion, ça oui. Ce qui est compliqué pour moi par contre, c'est de me faire des amis : des vrais ! Je suis en permanence en train de contrôler ce que je dis et ce que je ne dis pas, autant pour m'adapter au vécu de chacun (pas que au travail d'ailleurs) que de ne pas leur dire ce qui leur ferait vraiment du bien - car ça ne serait pas reçu. J'ai vraiment besoin de pouvoir parler un peu plus librement - et mon cursus qui m'a placé dans une boîte d'ingégnérie, avec des gens qui sont aux antipodes de la vie intérieure - c'est encore un coup du Fripon Divin (ça y est, je me lâche )

Bienvenue à toi...
Si tu veux parler de Jung ou d'Etienne Perrot, tu es au bon endroit...!

Bonsoir Bobrg

Bienvenue dans ce forum

bienvenu Bobrg,

j'ai souri à lire que l'eau avait non seulement coulé sous le pont mais aussi dessus...

je partage aussi cette impression que le travail sur soi que chacun pourrait faire rendrait le monde meilleur, car pour changer le monde il faut bien oui commencer par soi-même.

Oui en effet si il y a une place où tu peux parler de jung c,est bien ici,
au plaisir de te lire et d,échanger.

nicole

Merci de votre accueil ! Ça me met à l'aise et me détend !

Pour l'eau qui a coulé aussi sur le pont : c'est ce genre de fluidité mentale qui m'est venue grâce au travail intérieur, où on peut inverser une image - ça a surgi tandis que je tapais, j'ai trouvé opportun de partager cette irruption

Bienvenue !

En termes de synchronicité, c'est rigolo que tu sois "apparu" sur le forum au moment où nous parlions d'Hergé...
Celui-ci avait en effet choisi son pseudo à cause des initiales "RG"...(Georges Rémi)

Et toi, tu es Bob-RG !

Bonjour Bobrg

Tout d'abord bienvenu sur ce blog sur lequel je ne surf personnellement que depuis quelques jours.
Merci également pour cet échange de vécu personnel, des morceaux de vie qui je pense, doivent entrer en résonance avec beaucoup de ceux qui ont "foulé puis marché" dans l'univers jungien.
Je ne connais personnellement pas le versant analyse d'un point de vu dirons -nous "rationnel" de notre ami Jung...suis plutôt entrée "en Jung" comme on rentre en religion ou frappée par un coup de foudre.
Je ne connais peu ou pas l'aspect théorique et pratique de ce versant; je pense être plus ancrée sur l'aspect symbolique, philosophique et religieux de notre homme...je suis moi... comme guidée et même parfois "commandée" par ce... mon propre guide...intérieur.
En tous cas, c'est salvateur.
Aussi tu parles de "visage noir"; "d'impasses"... dans ta présentation...
Les difficultés ou autres souffrances ne sont-elles pas aussi là parfois pour "réveiller" et faire progresser ? Ne sont-elles pas nécessaires à l'introspection?
N'est-il pas en effet nécessaire parfois d'avoir connu "le pire" pour apprécier "le meilleur". D'ailleurs comment jauger "le bon", quand on ne connait pas "le mal"... Il faut peut-être connaitre le sombre avant d'entrer dans la lumière et pouvoir dépasser cette fameuse dualité si chère aux grands sages.
Quant à la difficulté à partager avec les autres...je suis d'accord avec Jean, il ne faut peut-être pas tenter de les convaincre...
Travailler sur soi, être en quête de vérité, c'est aussi selon moi se mettre en marge d'une société ancrée sur le moi, sur l'ego et donc sur le faux...Et il est donc bien difficile de trouver ce fameux écho tant convoité; difficile de rencontrer des personnes avec lesquelles on pourrait juste "être". L'Autre a bien tendance à mettre des barrières pour se protéger, semble avoir peur d'être comme "découvert", de perdre l'image qu'il s'est donnée, construite et qu'on lui a renvoyée...
Il faut peut-être trouver cet Autre qui est Soi avant de pouvoir aller vers les autres "d'être à être" et donc dans la vérité.
Et le chemin qui nous y mène est long mais passionnant et laisse place ,pas à pas, à un visage "illuminé" !

En effet.

"La clarté ne naît pas de ce qu'on imagine le clair, mais de ce que l'on prend conscience de l'obscur" Jung

Bonjour,

Je me sens décidément moins seul ! un immense merci à toutes et à tous !

Pour La Licorne : bobrg est un pseudonyme que j'utilise depuis longtemps dans mes forums informatiques; rien de très original : Bob = Robert (quel Grand Secret !) donc RG est : Robert G... je vous confierai mon nom de famille une autre fois - une esquisse pas très compromettante : il est italien ;-)

Pour Reine : ah, tu m'amènes là sur des terrains de prédilection ! la spiritualité ! je sais que j'ai un fond "mystique" (même si je ne suis pas encore bien sûr de ce que ça veut dire - rapport privilégié à l'inconscient ?). Adolescent, je suis passé par des lectures multiples de : parapsycholgie, ufologie, spiritualité, tout ça. Les années passant, de lecture en lecture, je me suis aperçu que mes centres d'intérêts se précisaient; vers mes 20 ans (avant l'Épreuve), ce à quoi je résonnais vraiment, c'était le bouddhisme Zen (avec les écrits vulgarisés de Taisen Deshimaru) et le soufisme (je ne sais plus qui j'ai lu : un auteur récent) : je trouvais qu'ils parlaient de l'être humain de la même façon, je dirais aujourd'hui : "sans simplifier ce qui n'est pas simplifiable", et avec une compréhension réelle de l'être humain . Après avoir connu Jung, avoir compris ce qu'il estime être les origines des religions: les rêves, les visions, manifestations de l'inconscient, je sens que je m'enracine en moi, dans la réalité : pour moi il a raison ! - sans rien retrancher à ce que je suis et que je qualifie maladroitement de "mystique".

Tiens, je peux vous raconter brièvement la suite : donc, à 20 ans, les choses ont commencé à mal se passer pour moi (bon, ça avait mal commencé avant, mais là ça a vraiment pris de l'ampleur) ; dans un moment de profonde détresse, j'errai, étudiant, sur le campus de Villeurbanne, essayant de souffler un peu - soudain, une image m'est apparue, de type onirique, mais à l'état de veille : c'était une sorte de colonne mince, verticale, emplie d'un liquide argenté, avec des bulles (comme du champagne) dans un léger mouvement montant; c'était à l'intérieur d'une caverne de couleur ocre, relativement éclairée; j'ai ressenti, d'une façon extrêmement directe, un "goût" d'absolu : ça n'était pas différend d'une expérience "religieuse" je suppose, sauf qu'il y avait là une authenticité complète (et rien de dramatique ! juste un fait); j'ai su en même temps, que c'était l'image visuelle d'un processus intérieur : une source d'énergie venait d'être activée (par l'immense souffrance je pense), qui s'était mise à sourdre en moi : je me suis appuyé dessus de tout mon poids, pour prendre mon premier rendez-vous chez un psy ... elle a servi, cette source ...

À l'époque, je trainais vaguement avec quelques chrétiens (ma mère m'avait mis au cathéchisme étant petit) : je n'ai pas voulu leur en parler : j'avais la certitude (je cherche le bon qualificiatif) instinctive, je SAVAIS que ça ne les regardait pas - qu'ils auraient voulu récupérer ça etc. Personnellement je n'ai pas non plus envie d'en parler d'une façon dramatique ni romantique; ce qui s'est exprimé en moi à ce moment me semble être à la racine de ce qu'on appelle "les religions" - dépouillé de tout apparat ou construction rituelle/culturelle - après, j'ai été (et suis encore) bien trop occupé avec ma personne pour débattre là-dessus.

Bon, j'ai été assez long pour aujourd'hui, je ne veux pas abuser. Je vais lire un peu les autres quand même !

Bonsoir
Bob-RG

Je viens de lire tes messages de présentation, j'ai été touché par ton vécu.
Puis-je te demander ton age ?
Pour beaucoup de raisons je vois des liens entre ta vie et ma vie, cela m'incite à en dire davantage sur moi... je vais le faire sur ma page de présentation, merci en tout cas de partager cela avec nous.
Jean-Philippe

Et bien, ce n'est plus une simple présentation, on va en savoir beaucoup sur toi désormais

Je crois que le propre de l'expérience "mystique" est qu'elle soit incommunicable avec fidélité (donc propre à celui qui la vit), transformatrice (elle initie à quelque chose) et intérieure...d'ailleurs, instinctivement, tu en parles ainsi.

Jean,

Oui, bon, enfin, comme je le disais : je n'ai pas pris ça comme une GRRRAANNDE RÉVÉLATION (avec colombes et angelots voletant autour :-) j'ai noté la dimension particulière d'absolu - et je me suis bien demandé ce que ça venait fiche là - cette vision a surtout accompagné un changement physique en moi, et l'a illustré; cela eu une vocation pratique essentielle - et majeure : c'était une réaction de survie de tout mon être ! aujourd'hui, je dirais que mon inconscient a produit, comme dans un rêve, ce dont j'avais besoin - donc même si cette expérience a une odeur de religion, j'aurais tendance à penser que ce n'en est pas une. À mon avis, mon organisme a "juste" sorti les grands moyens, dans une situation particulièrement dangereuse.

(Ce "goût" d'absolu m'en a quand même dit très long, en une fraction de seconde, sur la nature du fait religieux : ça m'a bien éclairé et dénaisé ! quand, dix ans après, j'ai trouvé Jung et les junguiens, ça a été la PREMIÈRE fois que j'ai pu parler de cette expérience d'une façon sérieuse ! comme d'un fait NATUREL, sans rien lui retrancher ni rien lui ajouter)

Par ailleurs, quoiqu'on puisse en penser, avec ce récit je ne livre pas grand-chose - pas à des junguiens aguerris en tout cas. Ça fait 35 ans, et beaucoup d'eau est passée sous les ponts/sur le pont :-) Je ne me suis pas - trop - tourné les pouces ...

D'ailleurs je dois m'excuser (peste !) quand j'ai dévié et dit "sur le pont" : l'image qui m'est venue est celle du pont d'un navire (de guerre) métallique : quand j'ai dit "sur le pont", c'est lui qui était lavé à grande eau ... C'est pas facile de communiquer !

J'ai ce côté militaire qui me vient (je pense) de mes ancêtres. Cette force aussi a contribué à me sauver la vie : LÀ, je me livre un peu par contre.

Pour finir, J'ai eu MON grand rêve d'initiation à 15 ans - là, même si je ne le qualifierai pas de religieux, par contre, la dimension était tout autre. Je vous raconterai ça une autre fois ...

Bonne journée à tous, je dois retourner à mes claviers ...

bobrg a écrit:aujourd'hui, je dirais que mon inconscient a produit, comme dans un rêve, ce dont j'avais besoin - donc même si cette expérience a une odeur de religion, j'aurais tendance à penser que ce n'en est pas une. À mon avis, mon organisme a "juste" sorti les grands moyens, dans une situation particulièrement dangereuse.

Puisque tu es dans les terminologies jungiennes, ce que tu décris est précisément religieux au sens jungien (+ ou - intense selon le degré d'intégration la dimension archétypique)

" La religion est, ainsi que l'exprime le mot latin religere, une prise en consideration attentive, une observation consciencieuse de ce que Rudolf Otto a appele le "numen", ou le "numineux" (das Numinosum), c'est a dire une puissance qui domine l'homme independamment de sa volonte, et qu'il attribue a une presence invisible. " Jung

Bob, merci de tes précisions...mais, tu sais, je ne te demandais pas ton nom !
je te déconseille d'ailleurs de donner ton nom de famille sur internet...on ne sait jamais comment ça peut être récupéré ...

Tout ce que tu partages est très intéressant...
L'image qui t'est venue n'est pas banale...
Cette colonne m'intriguait...alors j'ai tapé, par curiosité, "colonne à bulles" sur Google...et voilà la première phrase que j'ai trouvée :
"Les colonnes à bulles sont utilisées notamment pour les étapes de cristallisation dans le but d'obtenir des cristaux réguliers de grande pureté."
Pas mal, non ?

Oui, en ce qui me concerne, c'est ce numineux, qui a changé ma vie...
et qui me "travaille" de l'intérieur...
Pour ceux que cela intéressent voici un lien concernant cette "supra-énergie" en lien avec Otto et Jung

https://sd-2.archive-host.com/membres/up/117397135743551773/Psychologie_des_religions.pdf

Merci pour ce lien, Reine...(je ne connais pas Rudolf Otto).

Pour moi, le "numineux" est tout simplement le sentiment éprouvé devant le "sacré", "sacré" qui n'est pas "à côté" de la vie ordinaire, mais qui est notre fondement essentiel, notre nature profonde...nature dont nous avons été "coupés"...

Notre principale "maladie" ne serait-elle pas cette "coupure", cette "faille" entre notre "moi" et notre véritable nature ?

Pour ceux que cela intéressent voici un lien concernant cette "supra-énergie" en lien avec Otto et Jung

https://sd-2.archive-host.com/membres/up/117397135743551773/Psychologie_des_religions.pdf[/quote]

Merci beaucoup pour ces 24 pages!! un travail universitaire qui informe sérieusement !et que je lirai certainement .

Je ne connais pas non plus Otto.

Je connaissais ce document qui est une bonne base pour découvrir la notion de religieux chez Jung.

La Licorne a écrit:
Notre principale "maladie" ne serait-elle pas cette "coupure", cette "faille" entre notre "moi" et notre véritable nature ?

C'est ainsi qu'est souvent définie la foi d'ailleurs...

Notre principale "maladie" ne serait-elle pas cette "coupure", cette "faille" entre notre "moi" et notre véritable nature ?

Le numineux ne serait-il pas alors le point de conjonction, la "porte d'entrée" entre ce moi et notre nature véritable, ce fameux Soi?
Une fois passé cette porte... un autre chemin, une autre voie s'ouvre, laissant place à "la lumière" et menant.... à l'individuation qui ne serait alors aussi que la rencontre du sacré en soi...?
Mais... oui parce que surgit aussi une autre conjonction...celle de la coordination d'opposition... l'outil grammatical "mais"...
Car, il est puissant ce numineux...trop parfois.. et peut même s'avérer insupportable...
Cette supra-énergie, il faut en effet qu'elle soit "canalisée", peut-être "digérée rationnellement" au risque, pour certains, de "trop décoller verticalement" et d'aller sur le chemin de la folie... dans un mysticisme exacerbé...

Selon Jung, "aucun patient ayant passé 35 ans ne guérit tant qu'il n'a pas trouvé une attitude religieuse.."
D'où éventuellement aussi, cette crise du mitan...de la maturessence dont on a parfois bien du mal à comprendre l'objet réel...
Elle pourrait juste être une quête d'Absolu, de religiosité difficile à appréhender pour certains...à l'instar des athéistes matérialistes. Pourtant véritable chance, opportunité existentielle.....cette crise est simplement repoussée et compensée via divers medias bien souvent addictifs; simples échappatoires menant nul part.... sinon à l'autodestruction.
Et oui, "A 40 ans, on se brise ou on se bronze" et ça ce n'est pas de moi...et je ne sais plus qui en est l'auteur d'ailleurs.....
En tous cas moi, j'essaie de "bronzer" et.... pas que l'été sous les cocotiers !

Merci, merci, merci à tous pour tout !

Jean, je prends bien note de ta remarque - j'ai du retard sur certains thèmes - j'ai encore un peu de boulot devant moi ...

Reine, lien très intéressant que je lirai dès que j'aurai un moment !

La Licorne : je te remercie de ta sollicitude; pour ceux qui sont un peu anglicisants, il est connu que Bob est le diminutif de Robert - je ne camoufle rien là; mon nom de famille, c'est une autre histoire, il ne sera susurré que dans les oreilles de confiance - je suis un des chargés de sécurité informatique dans ma société, je connais bien tous les dangers (hélas !)

Ceci dit, je pensais être un spécialiste de la recherche sur Internet - mais comme cette image m'est venue tellement longtemps AVANT Internet, je n'ai jamais pensé à faire cette recherche de nos jours : je te dis un immense MERCI pour ta trouvaille, ça ajoute encore du sens à mon aventure !