Requête pour tout volontaire

Bonjour à tous,

Voilà, je travaille (enfin je débute pour le moment) sur un petit document dans laquelle une illustration importante est constituée par un rêve, d'un homme du 18ème...sans descendant donc je crois qu'on peut considérer que nous pouvons en disposer librement.

Il s'agit du penseur "philosophe inconnu" qui a traversé notamment l'époque de la révolution.



Si vous voulez en savoir plus, suivez le lien.

Bien que ce ne soit pas sa vocation première, ce document pourrait éventuellement être proposé à quelques revues assez confidentielles en terme de tirage. Le cas échéant, bien entendu, tout contribuant pourra rester anonyme ou être cité à sa guise.

J'ai besoin de propositions pour analyser le seul rêve écrit qu'on lui connaisse, tiré d'un manuscrit pratiquement inédit...il n'est pas daté prisément mais on pense probablement entre 1780 et 1790 donc un peu avant ou pendant la révolution française.

Je ne suis pas pressé et tout matériau, quel qu'il soit, sera le bienvenu pour enrichir mon petit essai.

Le voici, très court :

Rêve St Martin a écrit:Je me suis trouvé pendant un rêve dans une
grande salle où plusieurs batteries de canons croisées tiraient à boulets rouges,
et où je voyais ces boulets traverser l’étendue de cette salle et passer sur ma
tête et autour de moi ;et cependant je n’avais pas peur.

Je me permets une petite approche insignifiante car certainement trop perturbée de questionnements personnels actuels.

Je me lance ...

La guerre qui a lieue (boulets de canon) est peut-être le conflit en lui-même et présent en nous tous.

Le rêveur est dans le conflit "terrestre" mais n'en subit aucune peur.
Il est parvenu à retourner à la source, au centre, du conflit (!) et à ne pas y succomber.
Il est presque Lucide, il s'approche du Feu qu'est le Désir.
Ou alors c'est le contraire.
A force de sacrifices, le rêveur a confiance au Désir.
Il sait que le terrifiant Feu est là pour l'aider pas pour le détruire.

Les boulets de canon qui traversent tout ne sont pas là pour le détruire mais pour le purifier.

Le Feu intérieur semble parfois être un diable ou un monstre, un enfer dévorant les hommes.
Certains vivent ce Feu comme s'il s'agissait en effet d'un feu brûlant, dévorant.
Il n'est pas QU'un feu destructeur, sacrificiel, il est la porte, le passage qui nous rends la Liberté.
Le Désir anime tout ce qui existe. Il donne naissance et calme le désir.
Ce Désir qui est la source du désir, conduit aussi à se purifier du désir.
Reconnaître que toute chose est organisée et construite par le Désir, c'est sortir du conflit.

Le Désir est Bienveillant malgré sa façon étrange de nous approcher.
Ou plutôt, malgré notre résistance nous devons l'accueillir.

Plus on s'approche du Feu ou plus il s'approche de nous, plus la peur est parfois grande, le doute nous ronge, nous voulons fuir... le rêveur ici n'a pas peur et a confiance.

Il devrait alors se produire quelque chose dans le rêve ...
Du moins la suite du rêve aurait été intéressante.

Une main lui est tendue mais l'a-t-il empoignée vraiment?

Le monde est en guerre pour celui qui rêve mais quelque chose lui murmure, reste confiant et Réveille-toi!
Alors ce monde en guerre ne sera plus pour lui une source de souffrance et il deviendra un Guide aidé de Dieu.

Quelque chose est venu vers le rêveur parce que le rêveur c'est lui-même approché de ce Mystère.

Le Désir est tel un souffle qui se transforme comme Il le décide.
Réussir à Voir le Désir, à le ressentir comme un Pouvoir incommensurable et ne pas prendre peur quand il s'approche à visage découvert dans le rêve c'est recevoir le baiser de Dieu.

Ce Feu est partout mais il apparaît à chaque fois de façons différentes.

Quand un danger apparemment mortel s'approche, il faut l'accueillir comme un Don de Dieu, comme une opportunité de se Libérer.
Succomber à la peur du dangereux Feu qui s'approche à visage découvert ... c'est avoir raté la chance de sa vie.

Quelque chose est comme venu dire au rêveur: un grand bouleversement va surgir dans ta vie. Tu y risques ta vie mais...
Ne le craint pas et accepte-le comme un tremplin.


Désolé pour ce message qui mériterait une plus fine construction.

Il y a dedans trop de conceptions personnelles pour pouvoir en trouver quoi que ce soit d'utile.

Merci infiniment pour ta participation !

J'aime beaucoup lire ce que tu viens de livrer, je ne suis pas compétent pour juger de sa réelle pertinence dans l'interprétation mais l'évocation que tu en fais est d'une vraie qualité pour moi, merci beaucoup.

N'hésitez pas, même quelques mots, cela alimentera mon inspiration et ma réflexion. J'ai demandé à Florentin, s'il le veut, de nous dire quand il reviendra ce qu'il en pense.

Bonsoir

Dans le rêve de St-Martin,il dit cette phrase.

«Et cependant,je n'avais pas peur.»

C'est une belle rencontre avec sa paix intérieure,un lieu divin en soi.

Malgré que les boulets rouges passaient près de lui,il ne ressentait pas la peur,ce rêve le guide peut-être sur sa capacité de faire face à toute situation,même dans l'horreur de ce qui se passe dans cette salle,il garde son sang-froid.

Merci Jean pour ton ouverture.
Oui l'aide de Florentin serait bienvenue.

Linda a posté un message "simple" et fin.

Tout à fait !
Merci Linda.

Wow Raph ,tu étais inspiré!

À vrai dire je ne vois pas ce que j,ajouterais à ce qui a été dit...

Sinon que, peut-être, ce rêve pouvait être prémonitoire et lui communiquait qu,il ne risquait rien dans cette guerre (révolution), qu,il s,en sortirait indemne. Ou encore dans le sens de Linda, qu,il ne serait pas atteint par les attaques venant des autres ..
Etant philosophe,il avait peut-être trouvé un angle de vue, une pensée qui lui épargnait bien des souffrances existentielles. Ou encore comme philosophe ,il était contesté dans ses idées mais en était aucunement ébranlé.

Pas tres sophistiquée comme analyse mais c,est ma participation

C'est gentil Aria.

Tu as l'air pleine d'énergie.
Cette chaleur se propage, je t'en remercie et t'embrasses amicalement.

Merci Aria...dans la mesure où je ne cherche pas LA réponse, tout apport est une pierre pour ma réflexion.

Hello Jean !

Comme j’ai pu te le préciser par ailleurs, c’est avec grand plaisir que je te donnerai mon point de vue sur ce rêve simple dont le parfum met du baume au cœur.

Le plus souvent les rêves courts et sans associations sont des énigmes sans clés.
A l’inverse, pour celui-là, c’est le laconisme même du récit qui devient un guide sûr.

Quelles sont les observations préliminaires ?

Les batteries ne sont pas déployées dans l’espace ouvert d’un champ de bataille, ce qui, bien sûr, n’est pas la vocation habituelle des canons.

De fait, cela nous éloigne des préoccupations politiques du moment et des situations objectives en lesquelles on fait parler la poudre.

De plus, le rêveur ne fait allusion à aucun des enjeux politiques ou philosophiques que son époque portait….

Il en découle, et je pense que nous serons tous d’accord là-dessus, que cette scène est circonscrite à l’intériorité du rêveur.

Elle dépeint un évènement exclusivement relatif à cette sphère, sans aucune relation avec le contexte politique et social dans lequel il évolue.

Entendons-nous bien : Je ne dis pas que le contexte politique et social n’a eu aucune influence ou participation dans la construction, dans la maturation ou dans le déterminisme du rêveur.
Il est clair que ce contexte est forcément un élément constitutif de la révélation de sa personnalité et de sa réalisation personnelle.

Ce que je dis, c’est que ce rêve-là est rigoureusement de nature privée, qu’il représente une étape de son individuation et que nous ferions un grave contre-sens en cherchant à tout prix à faire coller son interprétation à quelques situations objectives.

En d’autres termes, il s’agit d’un rêve mystique qui ne peut être compris que de ce seul point de vue.  

Autre observation :
Les canons tirent à boulet rouge, ils sont au maximum de leur capacité, nous devons comprendre que le rêve fait allusion à une situation paroxysmique.

Les batteries sont croisées, cela veut dire qu’elles sont disposées de sorte à obtenir un effet de criblage maillé très fin sur la cible.
C’est comme si on ne voulait laisser aucun endroit intact, ce qui revient à dire que l’effet recherché est un impact total.

En d’autres termes : Toute la puissance de feu disponible pour cette pièce est entrée en action sans qu’il n’existe un seul endroit, même minuscule, ou il est possible de se cacher et de ne pas être touché ( transformé ) par le feu.  

Malgré la répétition des tirs et malgré la disposition croisée des canons le rêveur n’est pas touché et ne se vit pas comme cible, sa position dans la salle est diffuse, il est comme une particule quantique dont la densité de probabilité de présence s’étend à l’infini.

Nous devons comprendre qu’il n’est pas physiquement présent dans la salle, mais qu’il est "comme" présent, juste exposé à la furie et nous pouvons en conclure qu’il s’agit d’une mise en situation, c’est à dire d’une épreuve.

Il se sort à merveille de cette épreuve: Il n’a pas peur !

( J’ouvre une parenthèse, Jean, puisque tu as de la sympathie ou tout au moins de la résonnance avec l’œuvre du rêveur, pour te souligner le grand intérêt qu’il y aurait, analytiquement parlant, à mettre en parallèle ce rêve-ci avec celui que tu nous a donné sur un autre fil ou la biologie souffrait du rayon.
Le thème à creuser étant la frontière entre ce qui est intérieur et extérieur, entre ce qui est du domaine archétypal et ce qui est du domaine de l’émotionnel, ou plus précisément, l’équilibre entre l’amour humain porté par la chaleur de la chair et le lien individué à l’archétypal.
Notre sensibilité personnelle à l’archétypal, toute captivante qu’elle soit, ne peut pas priver notre entourage de l’attache émotionnelle, tactile, instinctive qui est son dû sans conséquences ennuyeuses.
Il nous appartient de trouver un mode de communication sensuel, instinctif, émotionnel, qui sera compris et reconnu par l’autre.
Il nous appartient de savoir nous mettre à la portée de l’autre pour que notre approfondissement individuel puisse exister et avoir un sens.
Pas d’infiniment grand sans infiniment petit ).    
 
Toujours au registre des observations, malgré la furie, et les vagues de projectiles, il n’est question nulle part de destruction.

Nous pouvons en conclure que la capacité d’encaissement de la cible équilibre la force de la matière projetée.

Nous pouvons dire la même chose autrement :
L’onde de puissance et la matière projetée sont solubles dans la cible.

Ce qu’il nous est donné de voir à l’œuvre ici en l’homme, c’est le point de rencontre et le commerce entre conscient et inconscient.

Il est des choses qu’on ne peut comprendre qu’en les devenant.

Le rêveur connaît ici le secret de l’homme en devenant conscient de la dimension mythique en lui, secret désormais intégrée à sa conscience.

Nous sommes dans la connaissance du vrai.

Seul le vrai peut parler au vrai et l’épreuve permet justement au rêveur de se révéler comme tel.

Les natures avortées et les pensées idolâtres ne peuvent avoir la force de porter la vie ni l’humilité de s’en reconnaître les filles.

Ici le rêveur n’a pas peur alors que le mythe a pris en entier le contrôle de la scène. ( Moment paroxysmique des tirs, du déchaînement du feu )

Il n’a pas de doute sur la bienveillance du feu, quelque soit son aspect menaçant,  et il n’a pas de doute sur sa nature à lui qui peut toute entière et en toute légitimité occuper le même espace que l’archétypal.

La psyché est initiatique, j’irais même jusqu’à dire, au risque de me faire traiter de puriste, qu’elle porte la seule initiation qui vaille…..En tout cas, à titre personnel, elle est la seule initiation que je veuille connaître.

Il est important de dire ça car j’ai cru comprendre que le rêveur avait appartenu à une société initiatique puis qu’il s’en était détaché…Peut-être y a t’il une relation de cause à effet après ce rêve mais il serait hasardeux d’être affirmatif.

Ici, le rêveur atteste de sa qualité et devient autant conscient de son mythe propre que du secret de la nature humaine et que des contenus qui animent le vivant.

Il s’agit d’un cheminement connu et on peut tabler que si d’autres rêves sont disponibles, postérieurs à celui-ci, ils auront trait à l’eau et au sel, avec possiblement l’image de l’huître et de la perle comme support.

ah ah !

Je viens de lire ça : La seule initiation que je prêche...





Dans une lettre à son ami Nicolas-Antoine Kirchberger du 19 juin 1797, le Philosophe inconnu évoque l'initiation centrale, la seule qu'il recommande. Cette dernière, c'est la voie du cœur. Pour la suivre, point n'est besoin de rites, il faut « s'enfoncer de plus en plus jusque dans les profondeurs de notre être », et ne pas lâcher prise tant « que nous ne soyons parvenus à en sortir la vivante et vivifiante racine ».

Merci Florentin pour ta lecture du rêve.

"Je viens de lire ça : La seule initiation que je prêche...

Dans une lettre à son ami Nicolas-Antoine Kirchberger du 19 juin 1797, le Philosophe inconnu évoque l'initiation centrale, la seule qu'il recommande. Cette dernière, c'est la voie du cœur. Pour la suivre, point n'est besoin de rites, il faut « s'enfoncer de plus en plus jusque dans les profondeurs de notre être », et ne pas lâcher prise tant « que nous ne soyons parvenus à en sortir la vivante et vivifiante racine »."

C'est beau.

Super Florentin !!
Merci pour ce précieux développement qui apporte beaucoup d'eau à mon moulin...

Oui cette citation connue (enfin, pour qui s'intéresse à l'homme) ne peut laisser insensible un jungien.

« C’est un grand travail que de chercher à nous connaître tels que nous sommes ; mais il faut ensuite travailler à nous connaître tels que nous devrions être. Ces deux sciences sont liées et doivent continuellement nous occuper. Une troisième science vient après ces deux, et est sans doute la plus difficile de toutes. C’est qu’après avoir appris à connaître ce que nous devrions être, il faut travailler sans relâche à le devenir »

«De cette sublime vérité que l'homme est une pensée du Dieu des êtres, il résulte une vaste lumière sur notre loi et notre destination ; à savoir que la cause finale de notre existence ne peut être concentrée dans nous, mais qu 'elle doit être relative à la source qui nous engendre comme pensée, qui nous détache d'elle pour opérer au-dehors ce que son unité insubdivise ne lui permet pas d'opérer elle-même [...]. C'est pour cela que cette pensée du Dieu des êtres, doit nous être la voie où doit passer la Divinité toute entière, comme nous nous introduisons journellement tout entier dans nos pensées, pour leur faire atteindre le but et la fin dont elles sont l'expression, et pour que ce qui est vide de nous devienne plein de nous. Car tel est le vœu secret et général de l'homme ; et par conséquent, tel est celui de la Divinité dont l'homme est image ».

Je place cet extrait d'un rêve personnel datant du 17/12/15 pour témoigner des similitudes de symboles.


Je m'attarde un moment et passe dans une pièce à côté.
Je vois soudain des petites boules tomber du haut comme des bombes et je crie : " Attention aux bombes ! "
Quelques personnes s'enfuient et je me retrouve seul dans la salle très claire.

Je remarque alors sur le sol les dizaines de petites boules éparpillées qui n'ont en fait pas explosées.
J'en prends une dans la main et découvre que c'est des bombes nucléaires miniaturisées.
Je n'ai pas peur qu'elle explose et la scrute : dans la sphère transparente se trouvent des petits cubes argentés plus ou moins imbriqués.

Merci Kélilan pour ce partage.

J'espère ne pas perturbé mais pour moi c'est un rêve encourageant.
A la façon dont tu décris le rêve, la montagne semble plutôt être un volcan qui se réveille.
C'est peut-être le feu du désir qui se réveille et devient menaçant mais tu parviens à reconnaître ce désir et à en faire une puissance active et constructive: le mariage, ton mariage intérieur.

Comme je ne désire pas que ce rêve soit décrypté ici, je n'ai laissé que le passage qui correspond aux symboles nous intéressants.

Kélilan a écrit: je n'ai laissé que le passage qui correspond aux symboles nous intéressants.

As-tu remarqué toute la différence qu'il y a entre rester de marbre parmi le feu qui tonne et crier "au loup" pour des bombes qui n'explosent pas ?

"Comme je ne désire pas que ce rêve soit décrypté ici, je n'ai laissé que le passage qui correspond aux symboles nous intéressants."

J'aurais peut-être dû en effet te demander avant un accord en mp.

Florentin Gobbey a écrit:

Kélilan a écrit: je n'ai laissé que le passage qui correspond aux symboles nous intéressants.

As-tu remarqué toute la différence qu'il y a entre rester de marbre parmi le feu qui tonne et crier "au loup" pour des bombes qui n'explosent pas ?

Je voyais plutôt les similitudes, dans une salle, entre le fait d'être au milieu de bombes nucléaires prêtent ( ou non ) à exploser, ce qui ne me fait pas peur
et
être au milieu de tirs nourris qui ne le touchent pas et qu'il n'ai pas peur.

( Pas de soucis, Raph, j'aurais dû préciser )

Kélilan a écrit:Je voyais plutôt les similitudes, dans une salle, entre le fait d'être au milieu de bombes nucléaires prêtent ( ou non ) à exploser, ce qui ne me fait pas peur
et
être au milieu de tirs nourris qui ne le touchent pas et qu'il n'ai pas peur.

Kélilan, même s'il y a similitude, il convient d'observer que toute la nuance qu'il y a entre:

"Des bombes nucléaires prêtent ( ou non ) à exploser, ce qui ne me fait pas peur"
et
"être au milieu de tirs nourris qui ne le touchent pas et qu'il n'ai pas peur"

C'est toute la nuance qu'il y a entre un potentiel réalisé que l'épreuve confirme et un potentiel dont le feu ne s'est pas manifesté.

Ce n'est pas une nuance mince.

Il y a une autre piste que je peux te donner: Les canons sont positionnés de manière à viser un but, et ce but, cette cible, équilibre et/ou absorbe ce feu.

Même si la balistique nous prouve que la trajectoire d'un boulet est plus parabolique que parallèle au sol, on peut quand même admettre que canon et cible sont situés sur un même plan.  
Le rêveur aussi se voit sur ce même plan.

Dans le rêve que tu décrits, les bombes tombent du haut….

C’est un autre plan qui s’invite et qui surprends.

Dans le rêve proposé par Jean, conscient et inconscient s’équilibrent et commercent jusqu’à ne former qu’un seul ensemble incluant, juste délimité par une frontière qui permet le commerce.

Est-ce que le rêve que tu postes décrit un tel ensemble de tensions équilibrés et interactives, ou bien décrit-il des plans séparés qui s’envoient des messages codés  ?

C’est là un superbe sujet d’études et de méditations !

D'accord Florentin, je me range à ton avis et vais réfléchir aux pistes que tu proposes.

Kélilan a écrit:D'accord Florentin, je me range à ton avis et vais réfléchir aux pistes que tu proposes.

Hey, l'artiste, tu peux le faire sans nécessairement être de mon avis !

L'important est de bien voir, autant les similitudes que les différences.

Au mieux tu verras, au mieux tu analyseras.

Vraiment, vraiment, l'important c'est une bonne vision, objective et sans préjugé.

Le bon décryptage, c'est celui qui intègre toutes les données sans en négliger aucunes.